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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 11:02
Voila maintenant trois mois que la viabilisation des voiries à commencé et avance à bon rythme. Le réception du terrain est annoncée pour la fin du mois d'octobre. En attendant le certificat administratif de fin des travaux de viabilisation ( dernier document à manquer pour pouvoir déposer le permis de construire ) je peaufine  les plans des fondations de la maison car c'est moi qui vais me frotter à cette tache ardue ...



L'étude de sol à montré un terrain argileux moyennement dense.

Pour respecter aux mieux leurs recommandations, j'ai choisi de réaliser des fondations en blocs à bancher  20 X 20 X 50 ( agglos auto-coffrants  ) sur des semelles filantes  40 cm / 20 cm . Des longrines 15 X 35  6 TOR diam 8 seront coulées dans les semelles.

6-copie-1.png



Un ferraillage en fer à béton TOR 10mm de diamètre ( chaque 50 cm en vertical et à chaque niveau en horizontal ) viendra renforcer le tout.





Image-1-copie-8.pngLes fondations seront ensuite remblayées par la terre excavée bien damée et sur les 20 derniers cm par de la pierre calcaire de façon à créer un hérisson. Un polyane de 200 microns sera chargé de stopper les remontées capillaires.

La dalle sera  coulée en béton auto-nivelant ( densité 300 à 350 kg/m3 + hydrofuge de masse ).

Elle comportera deux niveaux différents, le garage ( petite surface ) et la partie habitation ( plus grande )



Voila ce qui m'attends pour la fin de l'année, de quoi passer de bonnes fêtes






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commentaires

S
<br /> le ferraillage n'est pas tant là pour supporter la compression, c'est le rôle du béton mais pour les traction (et compressions différentielle qui génère des tractions), surtout e ferraillage<br /> vertical. Ce n'est donc pas tant la masse qu'il faut prendre en compte mais les tractions possibles donc en maison bois le ferraillage vertical est bcp plus important du fait qu'il s'agit de<br /> panneaux de plusieur metres de haut qui genere les traction et ce n'est pas la masse qui fait la stabilité en rapportant toutes les charges vers la verticale<br /> <br /> <br />
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<br /> J'ai une cinquentaine de mèches de forage ( 200 mm de long et 45 MM de diamètre ) de la mine qui rouille au fond du jardin, on s'en sert assez souvent comme poteau pour le grillage. Elles auront<br /> une place de choix dans les fondations... ;-)<br /> <br /> <br />
S
<br /> encore une chose, pas de chainage en sommet de fondation?<br /> <br /> <br />
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<br /> Le sommet des fondations n'est autre que la dalle qui sera largement assez ferraillée.<br /> <br /> <br />
S
<br /> pour les fondations, je m'interroge sur leur dimensionnement. Notre etude de sol avait montré une densité superieure et bien moins d'argile et pourtant l'ingenieur béton les a dimensionnées plus<br /> massives suite a l'etude des descentes de charge. De plus le ferraillage vertical etait beaucoup plus important.<br /> Je m'interroge aussi sur le remblai en terre excavée, c'est a dire riche en argile avec tous les problemes de gonflement retractation avec les variations d'humidité.<br /> Ensuite je m'interroge sur l'absence d'isolation sous-dalle en maison basse consommation, surtout en MOB (bien que l'isolation fibre de bois moyenne densité apporte de l'inertie). Pourquoi se<br /> passer d'une isolation du sol incluant la dalle complete dans l'espace thermique pour profiter de son inertie. Bien sur, une isolation sous-chape est prevue puisque chauffage au sol, mais est-elle<br /> vraiment au bon endroit? ne devrait-elle pas etre repartie entre sous la dalle et sous la chape<br /> Enfin je m'interroge sur la dalle en elle meme. Est ce une vrai dalle sur terre plein, c'est a dire desolidarisée de fondations? L'étude de sol ne l'a-t-elle pas deconseillé ou proscrit avec un tel<br /> taux d'argiles. Ou est-ce une dalle sur terre plein qui repose sur les fondations. Auquel cas je retire ce que j'ai dis sur l'isolation sous dalle en raison du pont thermique ingérable en nez de<br /> dalle.<br /> <br /> <br />
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<br /> C'est une dalle en terre plein qui repose sur les fondations. Il y aura une isolation sous le chauffage au sol de type Réhau ( je n'ai pas les ref sous la main ) avec un R= 3.80.<br /> <br /> Pour ce qui est du feraillage vertical, j'ai pris plusieurs avis qui aboutissaient à la même conclusion, je fais une maison en bois, pas un immeuble. On peut " alléger " le feraillage vertical car<br /> le bois est 12 fois plus leger que le béton. Un feraillage tout les metres et des renforts aux angles semble convenir.<br /> <br /> Pour le remblais de terre excavé ( argile ) je suis encore en pour-parler avec le terassier pour la remplacer completement par de la pierre.<br /> <br /> <br />